Archives de catégorie : Actualité

IMAG’INATOIRES 2024

Ça y est c’est le grand jour des IMAG’INATOIRES 2024 Qui attendent votre visite jusqu’au dimanche 16 juin de 14h30 à 19h dans l’église de Saint Jean de Thouars et dans le lavoir séchoir du clos de l’abbaye. Vous en profiterez pour découvrir la grande exposition grand format que l’association Patrimoine de ST Jean de Thouars à installée jusqu’au 1er octobre.

Rencontres photographiques de Thouars

Mi avril 2024 le club photo de Vrines invitait tous les amoureux de l’image à converger vers l’orangerie du château de Thouars pour les premières rencontres photographiques à l’occasion des quarante ans du club. Ce fut un très grand succès au cours de ces trois jours avec de nombreuses animations découvertes techniques et exposition des club de la région.
Le photo rail club thouarsais à apporté sa contribution par le prêt de matériel et des animations d’atelier.
Ses membres félicitent l’équipe dynamique du club de Vrines autour de leur président Alain Lebec pour cette importante et originale organisation.

Quelques images glanée dans les allées par Eric Coirier et Jean-Guy Bouchet.

Les photographes du CAMERA PHOTO CLUB et les plasticiens d’ ARC EN CIEL de Parthenay sont à l’origine d’une réalisation en un partenariat étonnant. Ils ont eu envie d’exposer leurs oeuvres durant quelques jours à Parthenay (du 18 au 21 mai 2023).

Aussi, nous avons le plaisir de vous inviter au vernissage de cette toute prochaine exposition intitulée DUOS D’ARTISTES, qui aura lieu jeudi 18 mai 2023 à 18h00, à la Chapelle des Cordeliers de Parthenay.

Nous aurons également la joie d’accueillir l’Association ARTAREL durant cette exposition.

Les univers photographiques de Jef Rabillon à découvrir au Dôme de Saumur

Le photographe Angevin Jef Rabillon est l’invité du théâtre Le Dôme jusqu’au 14 mai. En une centaine de clichés, il balaie près de 50 ans passés derrière l’objectif.

Exposition jusqu’au dimanche 14 mai, du mardi au vendredi de 15 h à 18 h et le samedi de 14 h à 18 h, au Dôme à Saumur. Entrée libre.

A lire en entier dans le courrier de l’Ouest de ce dimanche 23-04-23

Mort de Sabine Weiss

Dans le HuffPost ce 29-12-2021

Mort de la photographe Sabine Weiss, dernière figure de l' »école humaniste »
Lauréate du Prix Women in Motion in 2020 de la photographie, Sabine Weiss considérait qu' »une bonne photo doit toucher, être bien composée et dépouillée ».
Le HuffPost avec AFP

DISPARITION – Dernière photographe de l’école française humaniste, Sabine Weiss s’est éteinte ce mardi 28 décembre à son domicile parisien, ont annoncé ce mercredi sa famille et son équipe dans un communiqué. Elle avait 97 ans. Cet été, Les Rencontres d’Arles lui avaient consacré une exposition comprenant de nombreux clichés inédits.

À l’instar de Robert Doisneau, Édouard Boubat, Willy Ronis ou encore Izis, la photographe franco-suisse a immortalisé la vie simple des gens, sans toutefois revendiquer une quelconque influence. “Je n’ai jamais pensé faire de la photo humaniste, avait-elle confié à La Croix. Une bonne photo doit toucher, être bien composée et dépouillée. La sensibilité des personnes doit sauter aux yeux.”

Pionnière de la photo d’après-guerre, cette technicienne hors pair, au parcours éclectique, en couleur comme en noir et blanc, aimait capturer les “morveux”, les “mendiants” et les “petits narquois” croisés dans la rue. Elle était également connue également pour ses photos de mode parues dans Vogue. Lauréate du Prix Women in Motion in 2020 de la photographie, Sabine Weiss a fait l’objet de quelque 160 expositions à travers le monde.

Figer les instants fugaces

Autour des années 1950, elle arpente, souvent de nuit, la capitale avec son mari, le peintre américain Hugh Weiss pour figer des instants fugaces: ouvriers en action, baisers furtifs, allées et venues dans les bouches de métro. “La capitale, à l’époque, baignait la nuit, dans de beaux brouillards”, avait-elle déclaré.

Dans ce qu’elle nommait “mes images de morveux”, elle accroche les sourires, les jeux ou les singeries de bouilles crasseuses aux vêtements déchirés. “C’est amusant de jouer avec les enfants de la rue”, disait celle qui a acquis son premier appareil photo à 12 ans, avec le désir d’avoir été le témoin de son époque et de dénoncer les injustices.

Née Weber le 23 juillet 1924 à Saint-Gingolph au bord du lac Léman, Sabine Weiss apprend à 16 ans le métier dans un célèbre studio genevois. Arrivée à Paris en 1946, elle travaille pour le photographe de mode Willy Maywald. En 1950, elle ouvre son studio dans le 16e arrondissement tandis que Doisneau l’introduit à Vogue et au sein de l’agence Rapho (devenue Gamma-Rapho).

“Photographiez les gens, les choses autour de vous”

Sabine Weiss fréquente les milieux artistiques, fait des portraits de Stravinski, Britten, Dubuffet, Léger ou Giacometti. Elle va travailler, et réussir, dans plusieurs registres : reportag, publicité, mode, spectacle, architecture.

“J’ai fait de tout dans la photo”, confiait-elle à l’AFP en 2020. “Je suis allée dans des morgues, dans des usines, j’ai photographié des gens riches, j’ai fait des photos de mode… Mais ce qui reste, ce sont uniquement des photos que j’ai prises pour moi, à la sauvette.” Prolifique et généreuse, Sabine Weiss lègue en 2017 200.000 négatifs et 7000 planches-contacts au Musée de l’Élysée à Lausanne.

Actuellement, “les gens ne photographient pas tellement autour d’eux, mais plutôt eux-mêmes”, constatait-elle auprès de l’AFP en 2020, en allusion aux selfies. Pour elle, ce sont toutes les traces de vie qu’il faudrait conserver au fil du temps. “Il faut dire aux gens: photographiez, photographiez les gens, les choses autour de vous. Dites-le !”

Expo de parthenay vu par le journal « La nouvelle république

Parthenay : les clubs photos des Deux-Sèvres en exposition

Publié le 21/09/2021 à 06:25 | Mis à jour le 21/09/2021 à 06:25

Une réussite pour René Jamoneau (à gauche), assisté par ses deux vice-présidents, Guy Quesne et Francis Juin.
Une réussite pour René Jamoneau (à gauche), assisté par ses deux vice-présidents, Guy Quesne et Francis Juin.
© Photo NR

N’ayant pas pu honorer ses principaux rendez-vous l’an dernier tel qu’Art en Gâtine, en raison de la crise sanitaire, le Caméra photo club de Parthenay (CPCP) a organisé une exposition photographique, du vendredi 17 du dimanche 19 septembre, à la chapelle des Cordeliers. « Nous avons convié les autres clubs photos du département, huit ont répondu favorablement. Notre but est de relancer l’activité du club et d’échanger. On ne va guère les uns chez les autres et on se connaît très peu », souligne René Jamoneau, le président de l’association.
Une douzaine d’adhérents sur la trentaine que compte le club ont participé à cette exposition riche en diversité, aucun thème n’ayant été donné. En tout, près de 200 clichés, saisissants par leur qualité, ont été présentés aux regards du public, la plupart en format 40 x 50. Le vernissage de l’exposition, qui s’est déroulé vendredi soir, a été un succès : une cinquantaine de personnes y ont ainsi participé, ceci en présence des présidents des clubs invités ainsi que de Magaly Proust, première adjointe, et Véronique Reiss, adjointe à la culture.

Festival 2021 de Moncoutant 79


Les membres du Festival Photographique ont l’immense plaisir de vous présenter l’invité d’honneur de cette 11e édition le grand photographe humaniste Lee Jeffries.

« Je ressens leur solitude, leur désespoir et leur douleur. Et même si cela peut sembler prétentieux, je suis en larmes pour eux. Mes images représentent un dernier adieu à une relation construite sur l’authenticité » Lee Jeffries

Lee Jeffries est un célèbre photographe britannique de notoriété internationale connu pour ses majestueux portraits en noir et blanc de sans-abri. Témoignages des conditions de vie difficiles de ces personnes isolées, oubliées et abîmées par une vie de souffrance.

« Proche du milieu du football professionnel, où il commence à photographier des manifestations sportives.

Une rencontre avec une jeune fille sans abri dans les rues de Londres change pour toujours sa démarche artistique. Lee Jeffries raconte que, dans un premier temps, il avait volé un cliché de cette jeune SDF blottie dans un sac de couchage. Le photographe savait que la jeune fille l’avait remarqué mais il eut pour premier réflexe de partir. Il raconte que quelque chose l’a poussé à rester et à aller discuter avec la sans-abri. Sa perception sur les SDF s’en trouve bouleversée. Ils deviennent le sujet de son art.

Les modèles de ses photographies sont des sans-abris rencontrés en Europe et aux États-Unis : « Les situations se sont présentées, et j’ai fait un effort pour apprendre à connaître chacun des sujets avant de leur demander leur permission de faire leur portrait ». Désormais, ses photographies incarnent ses convictions et sa compassion au monde.

Saumur Exposition photos « par un battement d’ailes »

Saumur du 10 juillet au 30 août : Exposition photos « par un battement d’ailes »

Du vendredi 10 juillet au dimanche 9 août et du mardi 18 août au dimanche 30 août 2020
Le Dôme de Saumur accueillera une exposition des photographies Jean-Luc Ronné


Cet été, venez découvrir les clichés du photographe animalier angevin Jean-Luc Ronné au Théâtre Le Dôme, Galerie Loire.. Au gré de ses balades, il profite des animaux en liberté pour les photographier sous leur meilleur angle. Guêpiers, échasses blanches, barges rouges vont vous émerveiller pour cette belle exposition familiale très grand format.

Infos pratiques : Du vendredi 10 juillet au dimanche 9 août et du mardi 18 août au dimanche 30 août 2020 de 14h à 18h au théâtre Le Dôme de Saumur , galerie Loire – Entrée gratuite

Mars 2020

« C’était en mars 2020..

Les rues étaient vides, les magasins fermés, les gens ne pouvaient plus sortir
Mais le printemps ne savait pas, et les fleurs ont commencé à fleurir, le soleil brillait, les oiseaux chantaient, les hirondelles allaient bientôt arriver, le ciel était bleu, le matin arrivait pus tôt

C’était en mars 2020..

Les jeunes devaient étudier en ligne, et trouver des occupations à la maison, les gens ne pouvaient plus faire de shopping, ni aller chez le coiffeur. Bientôt il n’y aurait plus de place dans les hôpitaux, et les gens continuaient de tomber malades.
Mais le printemps ne savait pas, le temps d’aller au jardin arrivait, l’herbe verdissait

C’était en mars 2020…

Les gens ont été mis en confinement. pour protéger les grands-parents, familles et enfants. Plus de réunion ni repas, de fête en famille. La peur est devenue réelle et les jours se ressemblaient.

Mais le printemps ne savait pas, les pommiers, cerisiers et autres ont fleuri, les feuilles ont poussé.

Les gens ont commencé à lire, jouer en famille, apprendre une langue, chantaient sur le balcon en invitant les voisins à faire de même, ils ont appris une nouvelle langue, être solidaires et se sont concentrés sur d’autres valeurs.

les gens ont réalisé l’importance de la santé, la souffrance, de ce monde qui s’était arrêté, de l’économie qui a dégringolé
Mais le printemps ne savait pas. les fleurs ont laissé leur place aux fruits, les oiseaux ont fait leur nid, les hirondelles étaient arrivées

Puis le jour de la libération est arrivé, les gens l’ont appris à la télé. le virus avait perdu, les gens sont descendus dans la rue, chantaient, pleuraient, embrassaient leurs voisins, sans masques ni gants

Et c’est là que l’été est arrivé, parce que le printemps ne savait pas. Il a continué à être là malgré tout, malgré le virus, la peur et la mort. Parce que le printemps ne savait pas, il a appris aux gens le pouvoir de la vie

Tout va bien se passer, restez chez vous, protégez-vous, et vous profiterez de la vie.

Lisez ceci, répandez le et restez amoureux »Prenez soin de vous car il y a des gens qui vous aiment.