Les IMAG’INATOIRES 2018

Les membres du Photo rail club de Thouars  et leur invité « Pascal GIRAULT, sont heureux de vous faire part de l’imminence de la nouvelle édition des IMAG’INATOIRES qui se tiendront du 21 juin au 1er juillet à l’espace « Centr’affaire » 9 rue St Médard (Centre ancien, accès par le Place St Médard)
L’accès est libre de 15h à 19h tous les jours.
Vous êtes cordialement invité à participer au vernissage qui aura lieu le 22 juin à partir de 18h.

Le club de Montreuil Bellay Expose

Du 30 mai au 10 juin : Au fil de l’eau, au gré du vent, exposition photo à Montreuil Bellay

Vernissage 1er juin 2018 à 18 h au Prieuré des Nobis

L’Amicale Photo de Montreuil Bellay présente son exposition annuelle du mercredi 30 mai au dimanche 10 juin 2018 sur le thème « au fil de l’eau, au gré du vent ».

Affiche expo « au fil de l’eau au gré du vent »

Une centaine de photos seront exposées sur ce thème empreint de poésie et de romantisme, mais pas que… Les photographes amateurs seront présents pendant toute la durée de l’exposition et pourront vous apporter tous les renseignements souhaités.

Infos pratiques : Du mercredi 30 mai au dimanche 10 juin, les mercredis, vendredis, samedis et dimanches de 15 h à 18 h 30, Prieuré des Nobis, 3 rue Georges Girouy, 49260 Montreuil Bellay. Entrée libre.

A VOIR présentation Presse

Vu dans La Nouvelle République :

DEUX-SÈVRES

“ A Voir ” : les Thouarsais montrent leurs talents

Publié le 25/05/2018 à 04:55 | Mis à jour le 25/05/2018 à 04:55

    • EXPOSITIONS THOUARS

Claude Germain (École du Thouet), Jean-Guy Bouchet (Photo rail club), Eric Dumeige (adjoint à la culture), Patrice Pineau et Paul Moreau (Terra Botanica).

Claude Jamin (École du Thouet), Jean-Guy Bouchet (Photo rail club), Eric Dumeige (adjoint à la culture), Patrice Pineau et Paul Moreau (Terra Botanica).
© Photo NR

Trois expositions de peintures et de photos vont se succéder dans l’espace Centr’affaires, rue Saint-Médard, à partir d’aujourd’hui et jusqu’au 1er juillet.

L’espace Centr’affaires de la rue Saint-Médard s’est métamorphosé en une véritable surface d’exposition, le temps du rendez-vous « A voir », dont le premier vernissage se tient ce soir à 18 h. Une manifestation au long cours qui verra s’organiser trois vernissages, pour trois temps d’expositions différentes, jusqu’au 1er juillet. Au rendez-vous des amateurs (talentueux) exposants : l’École du Thouet, Terra Botanica et la Sef franco-malgache, puis le Photo Rail-club. Chacun avec un artiste invité.

1L’École du Thouet> Du 25 mai au 3 juin. Pour ouvrir le bal, la société des artistes peintres de l’École du Thouet organise son désormais traditionnel Salon de printemps. Les artistes membres exposent des œuvres réalisées au cours de l’année au sein des différents ateliers, sur les thèmes les plus divers. Environ 110 tableaux sont à voir. Cette édition est aussi l’occasion de rendre hommage à une artiste locale, Gaby Pohin, emblématique ancienne présidente de l’association, décédée en 2008.
L’artiste invité : l’École du Thouet invite un artiste peintre non amateur, Christian Memeteau, alias Memto, qui présentera l’exposition « Éclats de verts ». Natif des Deux-Sèvres, il a créé une école de communication à Nantes et expose partout dans l’Ouest.

2
. Terra Botanica et la SEF franco-malgache> Du 8 au 17 juin. Les deux associations se sont de nouveau liées pour une exposition commune. Maryvonne Delavault, présidente de l’association humanitaire, présentera une quarantaine de clichés, essentiellement sur la flore locale. Le concours photographique « Terres d’images », organisé chaque année par Terra Botanica, est toujours ouvert ! Le thème : « Plumes ». Les amateurs doivent se dépêcher, la fin des inscriptions est officiellement le 27 mai. Mais l’organisation n’est pas tatillonne… entre 45 et 85 photos sont attendues. Bulletin d’inscription sur www.terrabotanica-thouars, à la mairie ou au centre socioculturel.
> L’association invitée : l’Amicale photo ISO Riders. Entre 30 et 40 photographies basées sur une technique de vue insolite, utilisant de l’huile. « On a reçu des clichés étonnants », annonce Paul Moreau, président de Terra Botanica.

3
. Le Photo rail club> Du 21 juin au 1er juillet. Le club de photographie est toujours de la partie avec l’exposition « Imag’inatoires ». Une sélection d’environ 120 des meilleurs clichés réalisés durant l’année par ses membres.
> L’artiste invité : Pascal Girault, et son exposition « Au-delà du visible ». Des œuvres photographiques innovantes au charme mystérieux, prise avec un capteur infrarouge. Un bonheur pour les yeux !

A partir de ce vendredi 25 mai. De 15 h à 19 h, à l’espace Centr’affaires, rue Saint-Médard. Vernissage du Salon de printemps ce soir à 18 h. Entrée libre. Tél. 05.49.68.22.83.

 

Moncoutant Michel Rawicki invité d’honneur du festival photographique 17 juin au 30 septembre

La 8e édition de l’exposition photographique « Visages du Monde » aura lieu du dimanche 17 juin au 30 septembre à Moncoutant.

https://www.festivalphotomoncoutant.fr/

Michel Rawicki en sera l’invité d’honneur. L’homme a vingt ans de photos et a effectué plus de 35 voyages dans les pôles. Il présentera le quotidien des peuples du froid à travers les Inuits, le Nenets et les Evènes. Un autre invité de « poids » sera l’Ardéchois Eric Tourneret, photographe mondial de la photo d’abeilles. Seront présentées, du 17 juin au 30 septembre, des photographies de Michel Rawicki, Eric Tourneret, Danielle Dupré, Didier Jallais, Luc Perrot, François Dourlen, Steeve Ekomie, Clotilde Menanteau, du collectif Arsip, de Martine Lévêque, Tristan Bessière et Albert Montanier.

 

Festival photographique INFLUENCES 25 mai au 24 juin

Dans quelques jours, le festival photographique INFLUENCES ouvrira ses portes. Il investira une nouvelle fois le coeur verdoyant de la ville de Beaucouzé, près d’Angers (49). Les 15 expositions seront essentiellement installées en extérieur et permettront ainsi une agréable balade photographique. Comme à chaque édition, un pays et sa photographie sont à l’honneur. Cette fois-ci, notre regard s’est porté vers un territoire dont on parle beaucoup aujourd’hui pour son développement économique fulgurant, mais sûrement moins connu pour sa photographie : 
 
l’INDE.

Ce pays reste toutefois profondément attaché à ses traditions, à sa culture et doit faire face à bien des problèmes internes. Le festival questionnera alors, sur cette Inde d’aujourd’hui, face à ses mutations profondes et à ses défis

Affiche festival influences indiennes Beaucouzé 2018 photographie de Vasantha Yogananthan

http://influences-indiennes.fr/

PHOTOGRAPHES  :
Vasantha Yogananthan (Photographe à l’honneur),

Amit Pasricha, Arthur Crestani, Tuul et Bruno Morandi, Soham Gupta, Nishant Shukla, Yannick Cormier, Swastik Pal, Arko Datto, Le Collectif BIND, Karen Dias, Thomas Morel Fort, Tilby Vattard, Taha Ahmad

 
Voici un lien pour télécharger le dossier de presse: http://tisseursdimages.com/wp-content/uploads/2018/05/Dossier-de-Presse-2018.pdf
Rendez-vous sur : influences-indiennes.fr
Nous serions heureux de vous accueillir lors du festival
Bien cordialement,
Pour Tisseurs d’Images,
Christian Fremin

Défi 16 – Contraste intense en N&B

Pour apprivoiser ou redécouvrir le pouvoir du noir et blanc de la meilleure manière, poussons-le donc  dans ses retranchements en associant rendu monochrome et contraste extrême ! Je vous invite à essayer de « voir en noir et blanc » et de  penser en noir et blanc » afin de saisir des vues contrastées dès la prise de vue … avant de les affiner à la retouche.

Chercher le contraste, au déclenchement, consiste à faire se détacher des éléments clairs sur des éléments sombres, et vice versa. Il s’agit donc d’appréhender les contrastes dans votre environnement afin d’essayer de mettre en contact des sujets de densité tranchée.

Contraste lumineux. Posez-vous les questions suivantes : bénéficiez-vous d’un éclairage contrasté qui crée un écart entre des zones très lumineuses et des ombres bouchées ? Quelles zones de l’espace se trouvent dans l’ombre ? Quels sujets baignent dans la lumière ? En termes de noir et blanc, avoir cette réflexion vous permet d’anticiper le contraste de l’image. La stratégie consiste alors à superposer sujets éclairés et éléments dans l’ombre afin qu’ils se détachent l’un sur l’autre dans la photo.

Ce contre-jour fait apparaître les mouettes en vol dans la lumière sur fond dans l’ombre pour un contraste naturel optimal La balustrade, elle aussi, prend idéalement la lumière : le clash des densités renforce ma composition diagonale.

Contraste « de nuance ». Le Caractère clair ou sombre d’un sujet [chien blanc ou chien noir) est intéressant à repérer également surtout si, pour le coup, l’éclairage n’est pas contrasté [ciel couvert. par exemple). Les éléments colorés ont. eux aussi, une densité intrinsèque à prendre en compte, un sujet jaune apparaissant plus clair, en noir et blanc, qu’un sujet bleu ! Là encore, c’est en rapprochant des sujets dont les densités s’opposent que vous créerez le meilleur contraste.

Contraste gigogne. Appliquez ce principe des sujets qui contrastent ensemble à plusieurs niveaux dans l’image. La photo de la roue de voiture, suit ce modèle. Elle montre des « petits ronds noirs » se détachant sur un enjoliveur clair, lui-même cerné d’un pneu très dense. La carrosserie claire de la voiture habille le tout !

Comment procéder ? Pour parvenir à vos fins, choisissez les bons sujets mais, surtout, cherchez l’angle de vue adapté ! Déplacez-vous dans l’espace et penchez-vous de manière à faire coulisser les éléments entre eux, jusqu’à ce que votre sujet se détache sur un fond contrastant comme nous l’avons évoqué. Déclencher au bon moment constitue également la clé d’un bon contraste, pour certaines images ! Votre passant porte des vêtements sombres ? Repérez le moment où il se détachera sur un mur clair ! En manteau blanc, au contraire, vous le saisirez devant une façade ou une porte sombre …

Sans artifice. Nous cherchons donc à créer des images qui fonctionnent naturellement en noir et blanc, sans nécessiter de conversion monochrome poussée. N’hésitez pas à régler votre appareil directement en monochrome, si c’est possible (en visée à l’écran) : cela vous aidera, évidemment, à percevoir les contrastes et à trouver les bons cadrages. Sinon, à la retouche, une simple désaturation ( déplacement du curseur saturation à l’extrême gauche de la réglette) convient parfaitement pour une photo vraiment composée pour le noir et blanc

Optimisation du contraste. Pensez, en revanche, à bien contraster votre photo, selon Ia méthode présentée dans le cadre du Focus, ce défi annonce « contraste intense » ainsi ne soyez pas timide, poussez vos propres limites ! N’hésitez pas à tester différents rendus pour votre image, avec des contrastes variés. Sur l’un d’entre eux, restreignez les densités jusqu’à n’avoir presque plus que du blanc et du noir !
Si la composition est bien pensée en noir et blanc, forcer les noirs et les blancs ne vous conduira pas vers une photo illisible mais vous permettra, au contraire, d’augmenter considérablement l’impact de votre image !
Dosez également le réglage de luminosité selon le rendu souhaité et la densité du sujet. Ainsi, si le sujet principal est plutôt sombre, augmenter la luminosité pour éclaircir le fond (tout en noircissant bien le sujet) donnera souvent le meilleur résultat (voir photo d’illustration ci-contre). Pour un sujet plutôt clair [fleur dans la lumière, chien blanc, ou encore les raquettes de la page 56, etc.), diminuer la luminosité sera généralement un meilleur choix !
En bref, clair sur sombre et sombre sur clair à la prise de vue, contraste assumé à la retouche, et le tour est joué ! Étonnez-vous !

C’est en me déplaçant dans l’espace jusqu’à trouver l’angle de vue souhaité que j’ai réalisé cette composition graphique amusante, en noir et blanc Une augmentation franche de la luminosité m’a permis d’éclaircir nettement le sol afin que les structures métalliques sombres tranchent encore davantage.

Focus Retouche Contraster une image

En couleur comme en noir et blanc, là phase de retouche est un passage obligé pour « une photo qui pète» ! Il suffit souvent de pas grand chose pour faire toute la différence. En bref, d’une accentuation du contraste !

C’est quoi, au fait, le contraste ?

Le contraste mesure toujours un écart En photographie, il s’agit de l’écart entre les éléments les plus clairs et les plus sombres de l’image. En monochrome. par exemple. si les nuances vont du gris moyen au gris foncé (faible écart entre les 2 tonalités), le contraste est faible. Au contraire , si les densités s’étalent du blanc au noir. l’ écart est maximal et le contraste très fort !

Le contraste de nos images dépend essentiellement de la lumière ambiante (ainsi que, pour une petite part, du rendu généré par notre appareil]. Par un jour maussade de novembre. le contraste est plutôt faible. Un jour de plein soleil et en contre-jour. le contraste est au contraire maximal ! Mais, pour résumer à part dans cette dernière condition, nos images manquent 99 % du temps de contraste. Heureusement que ce défaut peut se corriger en quelques secondes à Ia retouche !

Du noir au blanc

Pour un contraste optimal, il faut d’abord que votre photo comporte des zones blanches ou presque blanches. Pour le vérifier, copiez-collez-là sur fond blanc et comparez les zones supposées blanches de l’image au fond de page. Si elles semblent franchement grises, il faut agir ! Modulez également les zones plus sombres, bien sûr, afin d’équilibrer le rendu et faire en sorte que la photo aille bien « du noir au blanc». Nous allons voir ensemble comment faire cela, en pratique Notez que l’ordre des manipulations n’a pas d’importance, c’est le résultat qui compte !

Comment contraster une photo ?

Cette manipulation peut se faire dans de nombreux logiciels, qu’ils soient gratuits ou Payants, notamment

via les curseurs « Exposition », « Luminosité », etc Lightroom, RawThempee, Darktable, Capture One, Pic

Monke4, choisissez celui qui vous met le plus à l’aise ! Photoshop et Gimp peuvent être utilisé  également mais ils fonctionnent avec un autre type de réglage, « les Niveaux ».

Ci-contre, je vous propose une méthode mettant en jeu des curseurs ne contrôlant qu’un paramètre à la fois. Je vous déconseille, en revanche, le curseur Contraste. Tantôt il éclaircira trop sans noircir assez, tantôt le contraire ! De plus, sur certains logiciels, il affecte de manière inappropriée la Saturation …

Doser l’exposition

Le curseur« Exposition » permet de moduler les blancs. De la même manière que sur l’appareil, augmenter l’exposition permet à la fois d’éclaircir la photo et de blanchir ces fameuses zones grisouilles disgracieuses ! Pour bien effectuer ce réglage, le plus efficace consiste parfois à décaler franchement le curseur jusqu’à « cramer » l’image puis à revenir en arrière jusqu’à retrouver du détail dans les zones claires, dont le rendu est devenu « plus blanc que blanc » !

Forcer les noirs

Afin de faire le « grand écart » côté contraste, veillez à associer à vos tonalités immaculées du noir bien noir. Cherchez le curseur qui noircit la photo jusqu’à la rendre charbonneuse ; il s’appelle généralement « Noir(s) ». Ne l’actionnez pas timidement, allez y franco !

Si vous avez la possibilité de comparer votre version retouchée à l’original, vous verrez que cette double manipulation [augmenter l’exposition + forcer les noirs] donne l’impression que l’on enlève un voile gris de l’image … Observez aussi les couleurs si la photo n’est pas en noir et blanc Ne sont-elles pas déjà plus vives ?

Moduler la << luminosité >>

Nous venons de « contraster les extrêmes » [le blanc et le noir). Une dernière étape peut vous permettre d’affiner votre retouche.

À l’aide d’un curseur souvent appelé « Luminosité » [mais aussi du curseur « Ombres », sous Lightroom), vous pouvez décider de densifier ou d’éclaircir les tonalités intermédiaires, celles qui ne sont ni très claires ni très foncées. Si la Courbe est présente dans votre logiciel, saisissez-la par le milieu puis tirez-la vers le haut ou vers le bas pour faire varier, de manière plus franche, la luminosité ! Attention, une augmentation de la luminosité demande parfois que l’on noircisse à nouveau l’image afin que celle-ci ne devienne pas trop fade … Alternez l’utilisation des 3 curseurs jusqu’à trouver le meilleur rendu !

Eh bien, non, la photo brute (A) ne présente pas de blanc. Comparez la densité du marquage du blanc de la page et vous constaterez que celui-ci est gris ! Je surexpose franchement l’image (augmentation de l’exposition) jusqu’à ce que les zones supposées blanches se confondent presque avec la page La photo semble cependant laiteuse et voilée (B)..

Forcer les noirs me permet d’obtenir le contraste voulu, avec des zones denses en regard des zones claires Le graphisme de la photo (C) apparait enfin (quadrillage, mini-cercles, lacets)..

Optionnel. En dosant la Luminosité, je peux choisir la densité des tons moyens, (le gris du bitume] Je décide ici de diminuer la Luminosité, pour une version encore plus dramatique (D)