Le point de vue

LE POINT DE VUE

La photographie en 30 secondes

Le point de vue implique en général la notion d’une vision avantageuse ou imprenable sur une situation donnée, surtout dans le domaine militaire. En photographie, le point de vue se réfère à la position (derrière la vitre, en haut de l’escalier, au sommet d’une falaise surplombant l’océan, etc.) à partir de laquelle on prend la photo – la position physique du photographe. Selon l’environnement, certains sujets ou certaines scènes peuvent donner lieu à des points de vue multiples. Par conséquent, le point de vue témoigne de la perspective du photographe et de la position de l’appareil, et augmente ainsi la perception des conditions de la réalisation de la photo. Le point de vue peut aussi servir de principe fondamental pour organiser les éléments de premier et d’arrière-plan (plans x, y, zl, surtout dans une scène un peu surélevée. La fonction de l’appareil photo étant de réduire un monde tridimensionnel à une surface bidimensionnelle, le point de vue peut rehausser ou minimiser certains détails, établir des liens visuels particuliers ou produire des effets de distorsion.

FLASH DE 3 SECONDES

La position concrète à partir de laquelle la photo est prise. C’est le contexte du photographe.

POSE DE 3 MINUTES

Le film intitulé Point de vue, sorti en 2008, parle de la manière dont le point de vue influence l’opinion.

Plusieurs témoins y donnent leur perspective sur une tentative d’assassinat du président américain. ce qui soulève la question de vérités concurrentes dans une situation donnée. Il s’agit clairement d’une réflexion sur la différence de perspective engendrée par le point de vue. dans ce cas dans l’assassinat de John F. Kennedy.

Ben Sloat Brian Dilg, Cosses et ciel hivernal

Trouver un point de vue unique implique fréquemment de se déplacer, grimper ou s’accroupir, tout en gardant un œil attentif non seulement du sujet, mais aussi à son arrière-plan (mouvant).

Le Format

LE FORMAT

La photographie en 30 secondes

Le format d’une pellicule indique la taille et la forme de ses images. Il tire son nom de sa taille et on le caractérise généralement par sa largeur. Plus le format est grand, plus il y a de surface pour fixer l’image et plus les détails sont fins, ce qui permet d’agrandir l’image. Le format de film le plus courant est le 35 mm. Au-delà, on considère qu’il s’agit de moyens formats (rouleau standard de 6 cm de largeur) ou de grands formats (des plans-films individuels d’une taille minimum de 4 x 5 pouces). Les normes de format définissent quel type d’appareil abrite quel type de pellicule et le nombre d’expositions possibles avec un seul chargement. Le format numérique indique la forme et la taille du capteur numérique. Plus le capteur est gros, plus il enregistre d’informations et plus la qualité de l’image est bonne. Pour tous les appareils (argentiques ou numériques), la taille du format détermine aussi l’angle de vue et le grossissement de l’objectif.
L’augmentation de la taille du format implique l’augmentation de la taille du corps de l’appareil, de même que celle de l’objectif.

FLASH DE 3 SECONDES

Le format indique la taille et la forme de la pellicule dans un appareil argentique et celles du capteur

dans un appareil numérique.

POSE DE 3 MINUTES

La taille de film la plus commune est le 35 mm. C’était la norme du photojournalisme avant la prolifération des appareils numériques à haute résolution.
La pellicule de grand format 4 x 5 pouces 10 x 12.5 cm). 8 x 10 pouces (20 x 25 cm) ou plus, est le format privilégié par les photographes de paysage, en raison de la finesse des détails qu’elle permet de fixer.
Les tailles courantes de capteurs numériques d’images comprennent le format 1 x 3,2 pouces (2,54 x 8,12 mm) pour la plupart des smartphones,
le format 1 x 2,7 pouces (2,54 x 6.85 mm) pour les appareils compacts
et le format 1,5 pouce (24 x 36 mm) pour les Reflex haut de gamme.

L’appareil numérique

L’APPAREIL  NUMÉRIQUE

La photographie en 30 secondes

L’appareil photo numérique utilise un capteur électronique (par opposition à une pellicule photochimique) pour convertir la lumière en signal électronique. Ce capteur enregistre une série de pixels carrés dans un fichier numérique, en notant la couleur, la luminosité et la position de chacun d’eux. Plus un capteur saisit de pixels, plus le fichier est gros, plus les détails sont nombreux et, en général, plus l’appareil est cher.

L’avantage évident de la photo numérique est la possibilité de voir immédiatement l’image sur un écran et les économies réalisées grâce à l’absence de pellicule et donc de développement. Mais elle permet aussi de fixer une gamme de teintes plus étendue que celle d’un film et, grâce au fichier Raw, elle enregistre un éventail d’interprétations plus large que celui d’un négatif.

La popularité des appareils numériques d’un bon rapport qualité/prix a été favorisée par la croissance simultanée d’Internet, qui a réduit à une poignée de secondes le délai entre la prise de la photo et sa diffusion. Presque tous les appareils numériques peuvent également enregistrer des fichiers compressés Jpeg, dont la maniabilité facilite la diffusion électronique.

 

FLASH DE 3 SECONDES

Les appareils numériques enregistrent une grille de pixels carrés, dont chacun contient une couleur. La profondeur de bits détermine le nombre de couleurs intermédiaires.

FLASH DE 3 SECONDES

L’idée très répandue que l’écran des appareils numériques indique les véritables paramètres de l’exposition est fausse. En fait, les fichiers Raw ne peuvent pas s’afficher tels quels sur un écran. Pour cela. il faut générer une copie regardable en appliquant des réglages de contraste, de couleur et de balance des blancs. Même si le format Jpeg est désactivé, l’image affichée sur l’appareil est toujours un fichier Jpeg généré à partir du fichier Raw avec des réglages utilisateur très variables, et l’histogramme reflète les teintes de ce Jpeg.

TEXTE EN 30 SECONDES

Brian Dilg

Les appareils Reflex à mono-objectif (ou SLR de l’anglais Single-Lens Reflex} fonctionnent selon le même mécanisme que leurs prédécesseurs argentiques. La pellicule a simplement été remplacée par un capteur. Toutefois, des conceptions plus récentes éliminent complètement le miroir et le verre de visée et permettent de lire l’aperçu de l’image directement à partir du capteur.

Concours du Mois « Fontaines »

A nouveau peu d’images pour ce concours de février sur le thème des fontaines, mais un beau jury de 20 personnes qui a désigne deux images à la première place celle de Guy et Claudette Bernier :

et celle de Joël Dussutour :

A la troisième place à nouveau Joël Dussutour

Au troisième rang c’est Françoise David :

Le Flash

LE FLASH

La photographie en 30 secondes

Les flashs sont des sources de lumière électronique employées par les photographes pour créer une apparence particulière ou lorsque la lumière ambiante n’est pas appropriée. Ils fournissent de brefs et puissants éclairs de lumière qui coïncident avec le déclenchement de l’obturateur. En général, les flashs de studio disposent également d’une lampe pilote, qui donne un aperçu de leur lumière avant le déclenchement. Les flashs portables ou intégrés à l’appareil fonctionnent sur piles et sont très pratiques mais fournissent beaucoup moins de lumière et n’ont pas de lampe pilote.

Les principes d’utilisation des flashs portables ou de studio sont pratiquement les mêmes, mais il y a quelques différences. Les flashs portables sont excellents pour les photos sur site comme les fêtes, les photos de rue, les mariages, etc.

Toutefois, ils ne se branchent pas facilement sur les équipements utilisés pour déterminer la qualité et la direction de la lumière en studio : boîtes à lumière, réflecteurs, bols beauté, nids d’abeille, etc. Les systèmes flashs de studio sont considérablement plus puissants que les unités portables, se rechargent beaucoup plus rapidement entre deux flashs et sont beaucoup plus chers. Leurs avantages par rapport à la lumière continue comprennent un rendement élevé pour une faible consommation électrique et une température de couleur qui se fond bien dans la lumière du jour ; leur principal désavantage est qu’on ne

 

FLASH DE 3 SECONDES

Les photographes préfèrent le flash quand les sources de lumière disponibles

ne sont pas assez fortes ou qu’ils ne peuvent pas les contrôler sur le lieu de la prise de vue.

POSE DE 3 MINUTES

Le flash permet au photographe de prendre des photos en maîtrisant l’exposition et l’esthétique de l’éclairage. Les flashs de studio offrent la possibilité d’un indice ISO plus faible et d’une plus grande profondeur de champ. Avec une telle souplesse, le photographe peut travailler plus en détail et avec des couleurs plus précises.

Le flash offre aux photographes professionnels le summum du contrôle à l’intérieur et à l’extérieur du studio.

 

Harold Edgerton, Gussie

Moron, service au tennis, 1952

Compte rendu de l’AG du 01-02-2017

L’Assemblée générale du photo rail club a été tenue ce mercredi 1er février précédé d’une assemblée générale extraordinaire pour une mise à jour des statuts demandé par l’UAICF. Les adhérents étaient presque au complet et l’assemblé a pu délibérer valablement.

Les rapports d’activité et financier ont été approuvé à l’unanimité. La moitié sortante du conseil d’administration à été reconduite. Jean-Guy Bouchet président, Guy Bernier Trésorier et Mauricette Leblanc secrétaire sont reconduit dans leur fonctions.

Le mode de fonctionnement des activités le mercredi après midi est reconduit et l’on verra à l’usage si le début d’après midi est à modifier.

Le concours du mois est maintenu mais il est demandé une critique sur les photos à l’issue des votes.

La sortie photo pique-nique sera à nouveau organisée par les Bernier et les Bruneau évidemment le lieu est tenu secret jusqu’à l’heure du départ, la date n’est pas encore fixée.

Expositions : En février au bar Le Terminal Avenue de la Gare exposition de Jean-Louis Rouault et Jean-Guy Bouchet à partir du 8 février avec présentation officielle le mardi 14 février à partir de 18h30 dans le cadre de l’animation St Valentin du bar vous y êtes cordialement invité. Sinon l’expo est visible tous les jours à partir de 18h jusqu’au 8 mars en principe.

Autre expo plus importante nos « IMAG’INATOIRES » ce sera ouvert au public du 24 juin au 2 juillet. L’installation se fera le 22 et 23 juin. Une autre phase d’installation qui nécessitera notre présence pour la mise en place du tissu évènementiel afin de cacher la misère du lieu se fera avec les deux autres associations le 22 et 23 mai.

Les peintre exposerons en premier du 25 mai au 05 juin suivi de Terra botanica + La SEF du 8 au 20 juin et nous fermerons donc la suite d’exposition des rencontres artistique « A VOIR ».

Vous pouvez télécharger le rapport d’activité en fichier .pdf qui a été approuvé lors de l’AG ICI